Archives de catégorie : Convivialités

Nouvelles nouvelles

Petit rappel de nos activités récentes :

Fête de la chandeleur D&J.
En partage de nourritures terrestres et spirituelles. Nous avons apporté notre bonne humeur et de quoi nous sustenter. 

Chez notre hôte qui nous avait préparé un velouté de légumes et un plateau apéritif, avant la dégustation des crêpes apportées par les participants, la plupart faites maison, sur épanchement de cidre à volonté.

Nous en avons profité pour proposer les animations et le programme pour le semestre à venir. Tout ça au coin du feu !

Sur « l’impromptu no5cv1djr24 » dernière minute donc 😆 , il a été proposé une soirée Épiphanie. Huit participants qui ont apporté galettes, boissons, fruits. Des réjouissances qui se sont prolongées sur fond de discussions à bâtons rompus jusqu’à tard après minuit.

 Un samedi soir de décembre, nous avons engagé notre soirée conviviale annuelle « NOËL » : Chaque participant ayant apporté un petit cadeau entre 5 et 10€, du salé et/ou du sucré, fait maison ou non, avec boissons assez variées. Là encore, une petite fête chaleureuse très « enguirlandée »

Petit rappel de nos activités à venir :

1) – Mars : « café littéraire »
Un auteur nous présente son livre :

Présentation interactive et animée, il nous raconte comment adolescent, il prend conscience de sa « différence ». Puis il évoque sans concession et avec lucidité, son combat journalier pour s’assumer, ses premières amours, ses rencontres, ses luttes, ses failles mais aussi  différentes  expériences de vie, avec toujours en toile de fond, cette quête impossible du bonheur.
Son livre témoigne aussi d’une époque ou l’homosexualité était encore taboue et vécue de manière quasiment clandestine.

2) – Avril  :
Visionnage  : « Simone – Transgenrisme » :
Suivi d’un débat entre participants. Un documentaire de Mireille Dumas,  série « Bas les masques » qui date un peu (1992) mais toujours d’actualité. Nous ferons la connaissance d’Alexia mais surtout de Simone, transexuelle et prostituée (on dirait transgenre aujourd’hui), qui se livre devant la caméra avec lucidité et franchise.

Son témoignage poignant ne nous laissera certainement pas indifférent…

3) – Du 17/02/2024 au 05/05/2024 : Noël Coypel – Peintre du Roi.
Notre « ministre local de la Culture » nous donne très rapidement la date exacte pour l’exposition en visite guidée « Tapisseries de Coypel ; de Versailles au Musée des Beaux-Arts de Rennes.

4) – Juin : Partage d’Évangile :
En communion de prière, sous l’inspiration de l’Esprit, vous apportez le texte d’Évangile qui vous touche particulièrement pour le partager. Lecture de psaume en fin de rencontre.

5) – 25 & 26 mai :
JAR : Journées Annuelles de Rencontres (& de Réflexion)
A Angers, pour l’Assemblée Générale de l’association.

Nos dernières rencontres

Nos derniers partages :
Barbecue festif ; opéra de plein air ; Journées du patrimoine au Théâtre National de Bretagne : 

Culture pour tous au « Couvent des Jacobins », puis barbecue pour notre réunion de rentrée…

L’opérette, l’opéra bouffe ou l’opéra « tout court » n’ont pas vieilli : Encore sujet à rire et à s’émouvoir parce que servis par de vrais artistes.

Journées du patrimoine au TNB, portes ouvertes sur les coulisses, une découverte ludique.

La Station théâtre

La Station théâtre (*), en banlieue de Rennes, oasis de Poésie, refuge des mots et des belles lettres, thébaïde des écrivains magnifiant la langue de Mac Orlan, Artaud,  Giono à  Joseph Ponthus,  Havel ou  Durif parmi tant d’autres, a été fondée et aménagée par Gwenaël de Boodt, poète et comédien qui fait son théâtre d’âme pour démasquer les clichés.

La Station théâtre La Mézière

Fils d’un des promoteurs essentiels de D&J-Rennes dans les années 80, Gwenaël a invité le groupe à une soirée « dîner théâtre », en souvenir de ces années de partage en humanité et en rencontres.
La pièce « Le pied de Rimbaud » est une adaptation libre d’écrits du poète (d’après Un Coeur sous une soutane et Les Lettres du voyant d’Arthur Rimbaud), magistralement interprétée par Maxime Dambrin, un acteur sans concession, se donnant corps et âme à l’incarnation et soutenu en vibrations sonores en grande sensibilité par François Robin à la veuze et autres instruments.

Le Pied de Rimbaud

La plupart des Déjistes « rennais » présents à ce temps fort de retrouvailles chaleureuses ont connu François-Claude De Boodt. De tout évidence son esprit a fait germer en nous le besoin et l’envie de renouveler de tels échanges culturels et humains pour l’année prochaine. Dont acte.

Christophe.

(*) La Station théâtre est un lieu de création et de représentations publiques régulières pour les poètes et les comédiens à la Mézière près de Rennes. Notre programmation est vouée aux œuvres visuellement sobres dont la langue est riche inventive et profonde.

Le Pied de Rimbaud

Nous étions 6, 6 déjistes à voir l’excellent spectacle inspiré de l’œuvre du célèbre poète Arthur Rimbaud, mise en scène par Laurent Fréchuret et présenté à la station théâtre, un sympathique théâtre convivial et familial, dirigé par Gwenaël, le propriétaire des lieux.

Accueillis par Gwenaël, le très chaleureux directeur et metteur en scène de l’Atelier Théâtre, nous avons commencé par un très petit repas, concocté avec soin par l’équipe de Gwenaël, ce dernier ayant des liens très forts avec DJ, car son propre père il y a déjà plus de 40 ans était un membre de notre association.

Gwenaël est un homme charmant, accueillant qui a le sens du contact et c’est tout naturellement qu’il nous accueille en toute simplicité et une grande générosité, dans son petit théâtre. Pour les plus anciens d’entre nous c’est l’occasion de se raconter des petites anecdotes, les souvenirs et les amitiés d’antan refaisant surface, toujours bien ancrés dans les mémoires, même 40 et quelques années après !

Mais nous étions là surtout pour voir le spectacle, un spectacle riche en couleur, émouvant, interprété par un jeune et très talentueux comédien, dont la performance artistique a coupé le souffle à tout un auditoire subjugué par l’interprétation très personnelle et très intime d’un jeune artiste qui s’approprie le personnage, faisant littéralement corps avec l’auteur « d’un cœur sous une soutane ». Car c’est bien Rimbaud lui-même que l’on a l’impression de voir devant nous exprimer toutes ses émotions de poète, de « voyant », tant l’interprétation forte émouvante, fait palpiter en nous les émotions si particulières que procure la poésie. Le comédien se met tout entier dans la peau d’ « Arthur », et comme lui on ne peut qu’être révolté par le conformisme, la bêtise de ses proches qui n’ont rien compris à son génie, au pouvoir incroyable de l’exercice poétique qui peut par la seule alchimie du verbe et des mots, bouleverser toutes les conventions sociales, plus que n’importe quelle action humaines.

Il faut dire qu’à la station Théâtre, les spectacles sont de qualité, Gwenaël faisant de sa petite troupe, une vraie pépinière de talents qu’il fait venir parfois de très loin, pour se produire dans son petit théâtre, pourtant perdu au fin fond de la grande brousse bretonne.

Mais à l’image de celui qui a révolutionné la poésie de la fin du XIXème Gwenaël lui-même est un poète très érudit doté d’une l’immense culture et qui écrit lui-même des spectacles, des pièces de théâtre et bien entendu de la poésie toute sa raison d’être, passionné et généreux, la poésie étant aussi pour lui un moyen de communiquer, d’échanger de créer du lien social en sortant de la grisaille du monde et permettant de réenchanter, de donner du sens et de la beauté à la vie.

Pari réussi pour Gwenaël avec qui nous discutons fort sympathiquement à la fin du spectacle, dans la chaleur humaine de son petit théâtre où l’on se sent bien et où l’on a passé une excellente soirée.

Xavier.

Marche des Fiertés 2022 !!

D&J-Rennes au taquet, sur le pont, avec son stand au Village Associatif de la Marche des Fiertés 2022 – samedi 4 juin !!!

De 7h30 du matin pour participer à l’installation du Village et du stand, pour la journée d’accueil et d’écoute qui a suivi, pour le démontage le soir (physiquement soutenu), pour la petite soirée resto puis la sortie en bar.
Pour la « Noz-Pride » et celles et ceux qui ont à titre perso continué jusqu’au petit jour, (nous ne posons pas de questions) :

Merci aux acteurs dynamiques du groupe qui ont permis cette réussite.
Merci aux acteurs d’ISKIS pour leur engagement envers les droits des GLBTQI+.
Christophe

Café littéraire

Comme prévu par notre programmation, nous nous sommes retrouvés pour lire, discuter et échanger toute une après-midi en salon littéraire sur l’essai de James Alison(*), aidés en cela par moult nourritures et boissons terrestres, démontrant ainsi que l’on peut être des esprits pensants tout autant que des hédonistes, voire des épicuriens.

Lors de sa conférence, Jean-Louis a synthétisé le personnage profondément et durablement marqué par le philosophe français René Girard, qu’est James Alison et sa doctrine complexe, dont la thèse principale est qu’en inversant les rôles victime/bourreau lorsque ce dernier est déchu de sa toute puissance, la victime, loin de jouer le martyr ou le vengeur peut par l’empathie transcender la vie des deux protagonistes.

Il introduit une idée de « l’intelligence de la victime » pour expliquer le changement qui s’opère chez les disciples de Jésus après la rencontre avec le Christ ressuscité.

Nous sommes tous concernés par l’application de cette théorie, même dans les petites offenses. Quant à passer de la théorie à la pratique, çà, c’est une autre affaire…

L’exemple le plus symptomatique est l’affaire du Cardinal Hans Groër, aux prises de positions particulièrement homophobes ; pourtant lui-même concerné et impliqué dans un scandale d’abus sexuels. Une fois déchu de ses fonctions et traité comme mouton noir par ses pairs, l’attitude prônée par Alison aurait été, sans acquiescer ou oublier, d’accompagner l’ancien bourreau dans sa démarche d’expiation.

D’autre part, Alison estime que l’enseignement de l’Église catholique sur l’homosexualité jusqu’à présent a été anormal car il repose sur une prémisse fondamentalement erronée de l’hétérosexualité intrinsèque présumée de tous les humains (en d’autres termes, les homosexuels étant simplement des hétérosexuels défectueux). Ainsi l’homosexualité est conçue comme une tendance objectivement désordonnée conduisant à des actes intrinsèquement mauvais.

Alison croit plutôt que « être gay est une variante minoritaire non pathologique régulière dans la condition humaine », ce qui est mieux comparé à la gaucherie– une condition qui était également considérée comme défectueuse jusqu’à ce que le voile de la pensée mythologique à son sujet ait été levé en écoutant la science – qu’à une condition incontestablement désordonnée comme l’ anorexie .

Exclu de l’ordre des Dominicains de par ses prises de positions, son attitude, conforme à sa doctrine lui a valu la reconnaissance du Pape François qui l’a appelé directement. Selon Alison, le pape François lui a dit : « Je veux que vous marchiez avec une liberté intérieure profonde, en suivant l’Esprit de Jésus. Et je vous donne le pouvoir des clés. » Comprendre par cela qu’Alison reste prêtre de plein droit,  et en étant détaché à l’autorité d’un évêque ; c’est à dire libre.

Christophe,
Sur la lecture et le travail de Jean-Louis.

(*) (prêtre et théologien catholique anglais. Alison est connu pour son application de la théorie anthropologique de René Girard à la théologie systématique chrétienne et pour son travail sur les questions LGBTI+)

Ce présent compte-rendu est une présentation succincte, parcellaire, personnelle et donc subjective de la conférence de Jean-Louis, autrement plus exhaustive de l’œuvre et de la vie de James Alison.

Aussi n’est-il pas inutile de se reporter à l’ouvrage lui-même :
« La foi au-delà du ressentiment » de James Alison – 336 pages – avril 2021 éditions du Cerf. 22,00€
https://www.editionsducerf.fr/librairie/livre/19208/la-foi-au-dela-du-ressentiment

Sinon, il reste la magie de la « Toile » : https://books.google.fr/books/about/La_foi_au_del%C3%A0_du_ressentiment_Fragment.html?id=PwYiEAAAQBAJ&source=kp_book_description&redir_esc=y

Et :

https://en.wikipedia.org/wiki/James_Alison
Wikipédia traduction automatique en français selon les navigateurs.

Retour d’un rennais sur les JAR 2021

Bonjour,

Comme prévu j’envoie un petit retour sur les JAR.

 

Cette année, les JAR ce sont déroulées en Normandie. Nous avons été accueillis dans un gîte à flanc de colline avec vue sur la vallée. Un lieu paisible invitant à l’introspection et propice aux partages spirituels.

 

Les participants venaient en majorité de Paris, mais aussi de Normandie et du nord-est.

Nous avons partagé des moments de réflexion sur les thèmes « aller vers les autres » et « continuer, tout est en avant », où chacun a pu exprimer son expérience, son ressenti.

Nous nous sommes aussi retrouvés en assemblée plénière pour un instant de communion et de prière.

Le samedi soir, le groupe parisien Celtic Sailors est venu nous proposer des reprises et des chansons originales de musique celtique. Un chanteur-guitariste, un violoniste et contrebassiste, accompagnés d’un danseur qui nous a montré son talent aux claquettes irlandaises et nous a fait danser des classiques de la tradition bretonne.

La soirée s’est poursuivie sur de la musique contemporaine jusqu’à une heure avancée.

Des bénévoles nous ont régalés en cuisine avec des produits locaux préparés sur place.

Ce fut un weekend de partage et de belles rencontres qui laisse entrevoir de beaux projets pour l’avenir de l’association.

Yohan

Assomption à la Peinière

En ce jour de l’assomption, nous étions 9 à participer dans un premier temps à la messe du sanctuaire de Notre Dame de la Pénière. Des membres se sont excusés car partis en vacances

En voici l’histoire :
Un jour, un paysan du nom de Chopin, voulant remettre en culture un terrain abandonné, heurta du soc de sa charrue un bloc informe couvert de terre.
Intrigué, il gratta l’argile qui adhérait à ce bloc et reconnut une statuette de la Vierge, en bois, assez grossièrement sculptée.
Il l’emporta le soir dans sa maison. Le lendemain, il fut étonné de ne plus retrouver la statuette chez lui. Elle avait disparu.
La surprise fut encore plus grande quand il la retrouva près de la fontaine, où il l’avait découverte la veille.
Le soir de ce même jour, il rapporta la statuette à son logis. Le même phénomène se reproduisit. Il avertit le recteur de Saint-Didier.
Celui-ci mit la statue dans sa chambre et prit soin d’en fermer la porte pendant la nuit. Le jour suivant, on retrouva encore une fois la statuette près de la fontaine.
La preuve était faite que la Vierge Marie voulait être honorée là où l’on avait exhumé sa statue. Ce fait dut se passer vers la fin du XVIe siècle.
Aujourd’hui de nombreux fidèles étaient là pour l’office. Peut être 200.
Après celui-ci nous avons piqueniqué dans un parc castelbourgeois, avant de faire une promenade culturelle dans les jardins ouverts au public du restaurant gastronomique Ar Milin à Châteaubourg : « Le Jardin Des Arts ».
Des œuvres imposantes d’artistes contemporains y sont exposées. Chacun, selon sa sensibilité, peut y voir parfois ce qu’il y veut. Certaines œuvres ne laissent pas de place à l’imagination. Une plume restera une plume même si elle fait plus d’un mètre.
Le soleil, avare depuis le matin s’est doucement réveillé pour nous éclairer de ses rayons pendant une réunion improvisée au cœur de ce joli jardin où nous avons programmé nos futures activités :
Notre agenda

Bernard

Balade (et non défilé) du 14 juillet

Un mois après  s’être  revus pour un pique-nique chaleureux dans le parc des Gayeulles, une dizaine de déjistes se sont rassemblés à nouveau, pour un nouveau temps de convivialité.

La journée a été riche. Le matin, elle a été, notamment, marquée par l’accueil d’un nouveau dans les conditions prévues par nos statuts.

Et un « ancien » qui était déjà venu voici quelques années était de retour parmi nous. Nous l’avons accueilli avec joie.

Ce premier groupe s’était donné rendez-vous place de la République ; 14 juillet oblige !

Le déjeuner-fort apprécié!- s’est déroulé dans un kebab puis, au fur et à mesure que s’écoulait l’après-midi, les différents déjistes sont arrivés au Jardin du Thabor, dans un cadre bucolique.

Les retrouvailles ont été marquées par un « goûter gourmand. » (Tant pis pour les kilos superflus!)

A 17h30, l’ensemble du groupe s’est retrouvé  devant l’Office  de tourisme, Rue Saint-Malo pour le début d’une balade guidée ayant pour thème « L’Art contemporain dans tous ses états, côté rivières. »

« Mettre la main dans un sac à dos, c'est comme entrer chez quelqu'un sans frapper. » « Nous sommes des riens, qui vivons de peu. Il s'en faut de peu qu'on ne vive de rien. » « Le sac à dos, cette petite maison comme celle de l'escargot. »
L’oeuvre « Chemin de vie », réalisée par des sans-abri.

citations gravées dans le granit par l’artiste Joël Gendereau, puis intégrées à une sculpture, une sphère acier-inox d’un diamètre de 2,50 m et de plus d’une tonne, réalisée par Philippe Le Ray, qui avait déjà travaillé avec le collectif lors d’un précédent projet.

Les découvertes ou (re)découvertes ont été variées : Nouveaux vitraux des Jacobins, couvent devenu un centre culturel, statue du maire héroïque Leperdit, hermines aux fenêtres… Le créateur, Maillols, qui  a remodelé certains quartiers de Rennes et qui est à l’origine des Tours des Horizons a été évoqué. Nous avons pu voir aussi de splendides graffiti colorés réalisés par des professionnels.

Street Art Rennes quai d'Ille et Rance
Quai d’Ille et Rance

 

La visite s’est achevée par la découverte du « Belvédère », une œuvre récente qui s’avance sur La Vilaine et qui est située non loin de la Maison de l’Eclusier. Heureux de cette journée, nous nous sommes séparés, nous promettant de nous revoir le 15 août dans le cadre de la fête mariale en l’église éponyme. (Notre agenda)

Dominique

Grillades rennaises post confinement

En ce dimanche 13 juin, nous, déjistes rennais avons à notre tour fêté le retour à une vie (presque) normale, en enterrant officiellement le déconfinement et ses réunions virtuelles. (Ne soyons pas ingrats, ces dernières nous ont aussi permis de garder le contact humain et d’avancer dans nos projets.)

En débutant pour ceux qui le souhaitaient, (minoritaires, nous avons quelques mécréants humanistes dans nos rangs), par une messe en la paroisse de Saint Augustin, suivie d’agapes pantagruéliques sous la forme de grillades au parc des Gayeulles.

Après le bénédicité(*) proposé par notre pasteur agréé, que nos mécréants cités supra ont dû supporter avec flegme et soupirs étouffés, merguez, chipo, saucisses et brochettes ont suivi l’apéro et précédé les desserts achetés ou confectionnés maison. Déjeuné arrosé de cidre, vins de Bordeaux, jus de fruits, Château-la-pompe, café. Ne manquait plus que le « pousse-café ».

Tout ça sur l’herbe au soleil puis un retrait stratégique à l’ombre du bois avec une sieste dans l’herbe et chapeau sur la tête pour quelques uns. Et discussions échanges politiquo-sociologico-philosophico-culturello-spirituels… pour les plus réveillés.

Un temps fort, gratuit, une petite oasis de bien-être, pour le plaisir, juste comme ça pour ça, et redonner des couleurs, du peps, du volume et du relief à la vie parfois un peu garce.

Christophe

 

(*) : Qui portait sur le fait de manger ou non, le résultat est un jugement identique ; alors mangeons :
Mt11 V18-19
18 Jean Baptiste est venu, en effet ; il ne mange pas, il ne boit pas, et l’on dit : “C’est un possédé !”
19 Le Fils de l’homme est venu ; il mange et il boit, et l’on dit : “Voilà un glouton et un ivrogne, un ami des publicains et des pécheurs.” Mais la sagesse de Dieu a été reconnue juste à travers ce qu’elle fait.»

Balade de déconfinement en ce mois de juin

Journée retrouvailles à Saulnières pour les membres de David & Jonathan Rennes (chrétiens lgbt+) après cette période de confinement.

Ce fut une très belle journée. Pour nous, l’occasion de faire connaissance d’une partie des membres de l’équipe. Chez Alain et Daniel qui nous accueillaient. Le déjeuner partagé où chacun a parlé de son vécu pendant cette période. Jean Louis nous a informé sur les activités de l’association et des prochains rendez-vous. Pour se défouler et s’aérer, une balade dans la campagne verdoyante. Merci à tous et c’est avec le plus grand plaisir que nous nous retrouverons en septembre.

Claude